Carol Robinson – composition, texte, clarinette basse
Serge Teyssot-Gay – guitare électrique

Christophe Hauser – prise de son, mix & mastering
Charles Bascou – informatique
Ivana Boris – photo de couverture

Accueil en résidence et enregistrement au GMEM — Centre national de création musicale (Marseille)

Nouvelle sortie !! Stop Killing Us réussit une hybridation émouvante entre musique contemporaine et rock, totalement inclassable, où les sons de la clarinette basse et de la guitare électrique sont noués par un traitement en temps réel – live electronics. D’une étrange beauté, les mots de Carol Robinson ajoutent une dimension supplémentaire. Cet enregistrement essentiel, nous transporte dans un monde fantasque très personnel, et très pertinent.

Disponible en magasin et sur Bandcamp.https://carol-robinson.bandcamp.com/album/stop-killing-us

Grâce à Szuhwa Wu, l’ensemble POTE a créé L’illusion des étangs II (2024) 14’ – (2 flûtes, clarinette, 2 violoncelles, violon, contrebasse et glockenspiel) au très sympa Festival POTE. Ces musicien.ne.s sont excellent.e.s !

Récemment, plusieurs personnes ont interprété la version originale de Le fond de l’air. Cette pièce, pour flûte et électronique, dédiée à Clara Novakova, a démarré mon cycle The Weather Pieces. J’ai particulièrement aimé la façon dont le flûtiste brésilien/américain Thomaz Tavares l’a joué. Voici une vidéo de sa prestation.

https://www.youtube.com/watch?v=QJuR1cf328Q

La saxophoniste Violaine Gestalder vient de sortir un CD avec des œuvres de Fabien Cali, Hélène Breschand et moi-même. Elle joue la version pour sax soprano de mon Le fond de l’air avec une très grande sensibilité.

Furtive – Violaine Gestalder – Creative Source Recordings

http://www.creativesourcesrec.com/catalog/catalog_816.html

“This piece can be played by a flute or soprano sax, with electronics that envelope it very gently and suggest a sense of suspended time, lush with fluctuating timbres and phantom melodies. The ethereal sax drone, Gestalder’s tender voice and subtle electronics create an elusive, layered reality where the inner thoughts of Gestalder correspond with the outside reality in an expression that is as captivating as it is ephemeral.” Eyal Hareuveni

Grâce au réalisateur Sebastiano d’Ayala Valva et au Südwestrundfunk, il existe désormais un beau documentaire, Stehende Wellen, sur la création d’Occan Océan Cinquanta pour le festival Donaueshinger Musiktage. Les musiciens de l’orchestre étaient d’excellents partenaires. Merci !

https://www.ardmediathek.de/video/kulturmatinee/stehende-wellen-radigue-robinson-occam-ocean-cinquanta/swr/Y3JpZDovL3N3ci5kZS9hZXgvbzE5OTA0MTE

J’ai dirigé la création d’Occam Océan Cinquanta (Radigue & Robinson) lors du concert d’ouverture du  Donaueschinger Musiktage. Interprété par le remarquable Orchestre de la Radio de Stuttgart, ce fut une soirée belle et importante. Allez à 1h23 pour voir le concert, via ce lien. http://swr.li/donaueschinger-musiktage-konzert-20-10-2023

« Le point culminant du concert d’ouverture a été la collaboration entre la compositrice américaine Carol Robinson et la pionnière de la musique électronique de 91 ans, Éliane Radigue. Leur œuvre commune Occam Océan Cinquanta exige une production sonore minimale de la part d’un grand ensemble ; Il en ressort une surface sonore flottante dont la dramaturgie se déroule uniquement au niveau des changements dynamiques. » Die Zeit 25/10/23 Florian Eichel

OCCAM HEXA V (Radigue & Robinson) a été interprété par l’excellent ensemble KLANG dans le cadre d’une rétrospective en quatre parties à la Fondation Cartier à Paris. Très beau travail !

Soirée Nomade Rétrospective OCCAM OCEAN d’Éliane Radigue #1, dans le cadre de l’exposition Ron Mueck à la Fondation Cartier © Edouard Caupeil 

The Weather Pieces vient de sortir chez MODE RECORDS, avec Charlotte Testu (contrebasse), Serge Teyssot-Gay (guitare électrique) et moi-même (cor de basset). Quel bonheur. Merci à tous !

aussi disponible sur Bandcamp

Les si doux redoux (2015) 24:02 / cor de basset
Black on Green (2015) 14:46 / contrebasse
Nacarat (2015) 30:05 / guitare électrique

Charles Bascou et Carl Faia, informatique
Christophe Hauser, son

photos © Sebastiano d’Ayala Valva

Blanc de Neige (pour saxophone, guitare électrique, contrebasse et électronique) a été créé par le formidable Trio Archipel Nocturne au festival Musique Action. C’était très émouvant, car c’était le dernier concert de la dernière édition du festival après 38 ans de musiques étonnantes. Un grand merci au musiciens et à Olivier Perry et l’équipe du CCAM qui ont rendu possible ce concert monographique de mes WEATHER PIECES.

Blanc de Neige a bénéficié d’une Commande de l’état du DRAC – Grand Est, ce qui est aussi très émouvant.